mercredi 28 mai 2008

petite question annexe ....

- Est il possible de gagner un concours interntionnal en France si on ne s'appelle pas Jean Nouvel?
- Se puede ganar un concurso internalional en Francia si no te llamo Jean Nouvel?
- Ist es möglich um ein internationnal wettbewerb in frankreisch zu winnen ob du heisst nicht Jean Nouvel?

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lundi 26 mai 2008

Montage de base dans la forêt du Parc Régional de Scarpe-Escaut.

introduction...

Grâce à l’accueil qui nous a été fait par la maison du parc, nous avons pu remonter notre module d’exploration des forêts tropicales afin de vérifier sa viabilité, d’optimiser son montage, mais surtout… de tenter d’y passer une nuit entière au mois d’avril !

Cette petite aventure est partie d’un diplôme d’architecture qui cherchait à offrir un lieu d’hébergement et de travail à des chercheurs partant en forêt tropicale. Pour cela, un prototype a été crée et amélioré à la suite de quatres essais dans des sites divers: en forêt, dans le parc de Villeneuve d’Ascq, puis entre les poteaux en béton de l’école d’architecture de Lille. Le prototype permet de s’installer en hauteur, d'être suspendu dans les arbres avec du matériel permettant de ne pas les affecter.Ces montages successifs furent nécessaires pour vérifier la faisabilité, mais ils n’avaient pas permis que ce projet soit vraiment un objet habité, car personne n’y avait passé plus longtemps qu’une sieste…


Con el appoyo de la casa del bosque de Scarpe Escault (Norte de Francia) nos podimos hacer de nuevo el montaje del modulo de exploracion de los selvas tropiales para ver si es un projecto possible en realidad il por lo mas de ententar de passar una noche dentro, durente el mes de avril !

Eso es el tercero montaje del proyecto pero la primera vece direcamente en un bosque , nos verificamos que efecivamente el prototypo no hace nada a los arboles.


jeudi 15 mai 2008

les hommes et l’habitat dans les arbres

La fascination des hommes pour l’habitat dans les arbres remonte peut-être au moment même où il a quitté la forêt pour s’établir dans des abris qui se séparèrent progressivement de toute idée de nature. Il s’est d’abord détaché de l’arbre proposé par les forêts puis des matériaux naturel qu’il a transformé peu à peu. Et pourtant la présence de la nature dans la vie quotidienne des civilisations urbaines a toujours été un besoin plus ou moins fort. L’histoire nous montre également que ce rapport à la nature s’est exprimé souvent par une volonté de vivre auprès des arbres et quelque fois dans les arbres.

Tout comme l’oiseau fait son nid, l’être humain exprime souvent ce besoin de construction à partir de ce qu’il trouve. Déjà les premiers hommes vivaient de manière courante dans les arbres lorsqu’il fallait se protéger de dangers venant du sol, des bêtes sauvages, des inondations et d’autres facteurs rendant impossibles la construction au sol. Et dans certaines régions du monde, ce mode d’habitat est toujours utilisé, notamment en Indonésie. La cabane est également liée à une certaine spiritualité ; les indiens « Lakota » pratiquent un rite de la hutte qui est le « Intipi », qui signifie le « naître encore ». La construction d’un abri est considéré comme une capacité de se protéger sois même et ainsi de pouvoir quitter son cocon familial. Dans la religion juive, se fête chaque année la célébration du « Souccot », qui est une évocation de la marche de Moïse et de son peuple à travers le désert, les enfants fabriquent une cabane dans laquelle la famille prend les repas et y dort une nuit. Dans d’autres civilisations les constructions dans les arbres sont réduites à des fonctions de divertissement et de plaisir, de retrait momentané de la ville. Mais il s’agit à la fois d’un plaisir et d‘un instinct, « l’homme descend du singe … et remonte aux arbres quand il peut ».
(à lire: La maison écologique, n°16 août septembre 2003)